Les Blessures


Les blessures sont toujours dans le côté gris de couleurs de la déchirure, je me demande si le sourire est fourni avec respire vers la tension et pas les usages pour venir et aller comme l'ouragan mais l'endroit que nous utilisons dans nos séjours de coeur nettoient comme nous utilisons pour prier par l'esprit et souhaitant voir le miracle d'espoir dans notre chaque coin. Quand ces blessures seront allées. ..Pourquoi ils aiment être avec moi à tout moment comme je suis responsable pour s'occuper d'eux… Les blessures de la vie semblent juste comme une deux rive de rivière parfois, il va dans la bonne façon et part parfois mais il n'arrêtera jamais à coule. Il y a deux mots que j'aime habiter en " l'amour et l'imagination ", les sons comme le gain ou détaché mais c'est dur à choisir n'importe quel l'un, les deux sont spécial dans leur propre façon. Sans n'importe quelle imagination je ne peux pas exprimer mon amour dans les lumières de bougie, au moins il y toujours a tant de richesses belles dans l'imagination vers l'amour. Tout j'ai besoin d'est cette petite magie pour allumer ma façon déroutante et cela ne sera pas une fin heureuse ou parce qu'il y a des forces me tenant l'extérieur de ces deux mots. La porte de l'un est toujours proche et un je ne suis pas invité, la foi m'avait gardé dans ce monde où j'ai toujours la tenture de tort par l'espoir d'un jour. Je suis cru que n'importe quels un mots me laisseront dans mais toujours je pleurerai pour laisser une autre passe d'espoirs par.

Quand je cherche au ciel du soir au-dessus du pont de mon village perdu, avec tout son scintiller joue le rôle principal je me sens, la lune planant tranquillement autour du ciel du soir parmi la compagnie privée d'étoiles immaculées au-dessous du domicile de miracle charismatique parfois, quand j'obtiens déprimé et le niveau bas de ma fenêtre, calmant la soif de tout attrapé par l'affinité parmi l'âme de mortels dans ce fac-similé de 'Le paradis', pas au loin de ma maison oubliée, mes emblèmes la croissance du soleil d'au fond du coeur dans l'utérus de terre et galvanise les environs avec sa tranquillité orné par la grandeur de luminosité de entrance, le zéphyr salubre de la forêt immaculée et l'âme vers l'extase de ciel. Et entourant par calme de la fatigue, des gens de village qui toute la journée dans le champ éloigné peine beaucoup ces animaux domestiques, mâche ensemble de même que les herbes dans le pastoral avec l'amour naturel.. Mais oui les blessures me restent la vérité de sens dans la réalité mais il blesse. Il est allé ces routes entières derrière mon couloir volant avec les nuages et ne peuvent jamais être revenu…

Le festival...Il y a une mélodie de festival qui faut suivre me pour presque dix années. Mes yeux ouvrent gaiement à l'obscurité d'hauteur de la nuit, s'il est minuit que la mélodie même verse dans mes oreilles. Un peu, comme le tintinnabulement d'une cloche d'un temple, comme si quelqu'un joue perpétuellement sur le piano avec la corde pareille avec tant d'air de musique traditionnelle. Il y a une flûte, un violon et il y a un vers propagé de son pot-pourri. Cette mélodie frappe constamment dans mes oreilles. La musique est un sujet d'amour ; c'est un sujet être absorbé et être senti par le rayon différent de saisons. Sous la couverture de la nuit, qui signale, cette mélodie pousse incessamment dans mes oreilles continue. Je crains, si n'importe quel corps jamais comprendra que le sens de mes yeux sans sommeil de que présage et la mélodie pénible en se basant sur l'expression d'un novice et sensations les plus profondes ineptes de blessures qui m'amènent les souvenirs impossibles à éviter, et ici j'ai envie de pleurer... Les nuits sont le bien d'une maison de l'individu ; les nuits sont dépensées comme par nos souhaits si nous sommes un riche ou un mendiant. Dans le nom pareil de festival de tombée de la nuit quelques-uns peuvent voler la suite d'amour, quelques-uns peuvent voler dormir de rose mais mes blessures vole mes déchirures dans le minuit…

-Par simon Rimal

Walking in the lane